Netanyahu et Gallant : Deux salopards coupables de crimes contre l’humanité et crimes de guerre face à la justice internationale

Benjamin Netanyahu et Yoav Gallant, deux figures centrales du gouvernement israélien, sont aujourd’hui confrontés à un tournant historique : des mandats d’arrêt émis contre eux par la Cour pénale internationale (CPI). Ces accusations, lourdement chargées de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, viennent pointer du doigt les atrocités commises à Gaza, révélant au grand jour des décennies d’impunité systématique.

B. Netanyahu, le sale porc et criminel déguisé en politicien

Depuis des années, Netanyahu se présente comme le défenseur ultime de la sécurité d’Israël. Mais derrière ce discours, il a orchestré des campagnes militaires brutales, réduisant Gaza à un champ de ruines. Sous sa direction, les bombardements indiscriminés sur les zones civiles, les blocages imposés sur les biens essentiels et les punitions collectives infligées à une population déjà assiégée ne sont pas de simples “mesures défensives” mais de véritables actes de barbarie.

Les récents événements ont dépassé les limites de l’acceptable. Depuis l’attaque du Hamas le 7 octobre 2023, Netanyahu a exploité la tragédie pour justifier une offensive dévastatrice contre Gaza, visant autant les civils que les infrastructures vitales. En ordonnant la privation d’eau, d’électricité et de médicaments, Netanyahu a montré une fois de plus qu’il est prêt à écraser des vies humaines pour atteindre ses objectifs politiques. Ce n’est pas seulement immoral, c’est criminel.

Yoav Gallant, le fils de pute et le chien exécutant du sale porc, Netanyahu

Yoav Gallant, ancien ministre de la Défense, n’est pas simplement un collaborateur de Netanyahu, mais un acteur clé dans la mise en œuvre des opérations militaires israéliennes. Sa responsabilité dans la stratégie de terreur appliquée à Gaza est flagrante. Sous son autorité, l’armée israélienne a rasé des quartiers entiers, ciblé des écoles et des hôpitaux, et réduit en miettes tout semblant de vie normale dans la bande de Gaza.

Gallant incarne l’exemple parfait d’un militaire obsédé par la domination, insensible à la souffrance humaine. Il a réduit Gaza à un champ d’expérimentation militaire, transformant des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants en statistiques anonymes. Sa politique de “zéro tolérance” n’est rien d’autre qu’une excuse pour justifier des massacres à grande échelle.

La CPI : un coup de marteau contre l’impunité

L’émission des mandats d’arrêt par la CPI est une lueur d’espoir pour les victimes des crimes israéliens. Ce geste, bien qu’attendu depuis longtemps, marque un tournant dans l’histoire du conflit israélo-palestinien. Il expose une vérité souvent étouffée : Netanyahu et Gallant ne sont pas des leaders, ce sont des oppresseurs. Ils ne protègent pas un pays, ils détruisent des vies.

Cependant, il est important de noter que ces mandats ne garantissent pas l’arrestation immédiate des responsables. Israël, qui n’est pas signataire du Statut de Rome, continuera de rejeter la juridiction de la CPI. Mais l’impact symbolique est immense : Netanyahu et Gallant deviennent des fugitifs sur la scène internationale, leurs déplacements limités et leur réputation ternie.

La complicité internationale : silence coupable

Il serait injuste de limiter les critiques à Netanyahu et Gallant sans mentionner les complices internationaux de leurs crimes. De nombreux pays, notamment les États-Unis et certains membres de l’Union européenne, ont longtemps couvert les exactions israéliennes en invoquant la “légitime défense”. Leur silence face aux atrocités commises à Gaza est une trahison des principes fondamentaux des droits de l’homme.

Ces puissances occidentales, tout en condamnant les crimes de guerre ailleurs dans le monde, ferment les yeux sur les actions de leur allié israélien. En tolérant ces actes, elles renforcent un cycle de violence qui dure depuis des décennies.

Une justice nécessaire, mais insuffisante

Netanyahu et Gallant incarnent une politique israélienne construite sur l’oppression, la domination et la destruction. Leur mise en accusation est une étape essentielle, mais ce n’est que le début d’un long chemin vers la justice. Ce ne sont pas seulement deux hommes qui doivent être jugés, mais tout un système qui a permis ces crimes.

Il est temps de mettre fin à cette impunité. La communauté internationale doit se lever contre ces dirigeants qui utilisent la souffrance humaine comme arme politique. Les victimes de Gaza, celles qui ont survécu aux bombes et à la famine, méritent une justice réelle. Netanyahu et Gallant doivent être tenus responsables, non seulement pour leurs crimes, mais aussi pour l’idéologie destructrice qu’ils représentent.